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Jour 240 |
Il y a comme une odeur de rentrée dans ces derniers jours estivales. J'ai beaucoup plus de mal à me frayer un passage sur le quai de la gare et je ne parle même pas de trouver une place assise le matin dans le train ou le métro. Bientôt le retour des voyages assise dans le porte-bagages.
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Jour 241 |
Les touristes se raréfient, on a, par contre, un peu plus de place sur les trottoirs. M'enfin, c'est Paris tout de même, et il y aura toujours des touristes quel que soit le jour de l'année.
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Jour 242 |
Il y a toujours du soleil, même si on sent bien la fraîcheur s'installer insidieusement. La nuit trop longtemps mise à l'écart regagne du terrain comme une maîtresse jalouse.
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Jour 243 |
Une chose ne change pas, les hommes se retournent toujours sur le passage des femmes. Une jupe passe et les cervicales masculines trépassent ....
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Jour 244 |
Les canards, eux, s'en foutent. Ils s'ébattent dans la Seine sans se soucier du jour d'avant ou de celui d'après. Ils vivent, nagent et le reste .... bah ça n'existe pas !
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Jour 245 |
Un petit tour au pays Indien pour fêter Ganesh. Une autre façon de sceller la fin de l'été. On y rencontre la vie, les couleurs, les odeurs de safran, d'encens et de noix de coco mélangées. On y rencontre aussi des amis, un appareil à la main, l'oeil aux aguets et un sourire sur les lèvres. Ca sert aussi à ça les défilés. On renoue les liens un peu desserrés ou on en noue de nouveaux.
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Jour 246 |
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