Il y a le collègue qui parle fort ou trop fort de tout et de
rien mais surtout de rien. Il vous saoule à longueur de journée avec ses
histoires drôles (enfin surtout pour lui), ses certitudes sur tel ou tel sujet.
Il en fera, bien sûr, de même s’il répond au téléphone histoire que tout le
monde en profite.
Jour 50 Merci |
Il y a celui ou celle qui sent mauvais et qui remporte la
palme de l’étude. Une vague odeur parvient jusqu’à vous alors que vous n’avez
pas encore pris votre café. Aisselles, haleine ou hygiène douteuse, on a tous
un exemple. Que dire du « je mange la bouche ouverte, mais moi ça ne me
gêne pas »…..
Jour 51 Copy stock |
Jour 52 Jour gris |
Le/la geignard(e). Il n’y a jamais rien qui va dans cette
vallée de larmes. De l’abruti de voyageur qui lui aura fait des misères, à l’augmentation
d’impôt (parcequetoutçac’estdelafauteàpasd’chance) c’est pour lui. Bien sûr autant s’en plaindre à qui lui
demandera comment il va. Au fait, vous avez combien de temps devant vous ?
Jour 53 Souviens-toi de moi |
Dans l’ensemble, les collègues, quoi qu’ils en disent et
quoi qu’ils s’en plaignent apprécient le collectif. C’est tout de même un cocon
confortable, malgré que ce soit une « famille » qu’on n’ait pas
réellement choisi.
Jour 54 Le café aux clémentines |
On a tous au moins un exemplaire de ces collègues. Il arrive
même que plusieurs clichés soient regroupés dans la même personne. Comme je
compatis, je vous souhaite bon courage hein.
Jour 55 Matin vitaminé |
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